Travailler sur les voies dans les années 1945-1950
Après la Seconde Guerre mondiale, en pleine reconstruction du réseau, Ferdinand Dubreuil (1894-1972), artiste cheminot, réalise un recueil de dessins qu’il intitule « Les Hommes du rail ».
Après la Seconde Guerre mondiale, en pleine reconstruction du réseau, Ferdinand Dubreuil (1894-1972), artiste cheminot, réalise un recueil de dessins qu’il intitule « Les Hommes du rail ».
Dans le sillage des Journées européennes du Patrimoine 2020 organisées sur le thème « Patrimoine et éducation : apprendre pour la vie ! », découvrons comment un jeune tenté par les métiers du chemin de fer entrait en apprentissage.
La ligne de Paris à Orléans dont l’embarcadère est situé Place Valhubert (Quai d’Austerlitz) est inaugurée le 2 mai 1843.
La ligne de Paris à Saint-Germain-en-Laye, conçue pour le transport des voyageurs est la première à desservir la capitale. Inaugurée le 24 août 1837, elle relie en une demi-heure le quartier de Saint-Lazare à la commune du Pecq.
Ce plateau de jeu, conçu comme un jeu de l’oie et imprimé à Metz1 vers 1855, a été réalisé d’après l’idée d’Ernest Henry, chef de la division du mouvement au chemin de fer de Nancy à Sarrebruck.
Dès son inauguration le 24 août 1837, le chemin de fer de Paris à Saint-Germain prît une connotation festive. Les sites pittoresques de la ligne (Nanterre, Chatou et bien-sûr Saint-Germain) présentaient un intérêt pour les promeneurs qui y affluaient le dimanche.
Enfant, il traverse la Beauce pour se rendre à Illiers, passe plusieurs étés sur la côte normande ou dans des stations thermales, découvre la Hollande, la Suisse, l’Italie et choisit Cabourg.
Chaque lettre du titre Chemins de fer de l’Etat est tracée avec soin. La forme, le contour et les couleurs ressemblent aux affiches et aux guides que les compagnies ferroviaires éditent dans les années 1910. L’artiste en détourne ici habilement les codes.
« C’t’invention d’voitur’comm’c’est drôle, un charbonnier pour postillon au lieu d’une bride, un tuilliau d’tôle et pour att’lage un grand chaudron !... On est foulé, refoulé, bousculé, c’est pis qu’l’arche de Noé ! »
2 672 noms ont été recensés dans cet ouvrage collectif dirigé par l'historien Thomas Fontaine. Il est le résultat d’un travail d’envergure lancé en 2011 et coordonné par l’association Rails et histoire. A la fois référence scientifique et ressource pédagogique, l’ouvrage comprend 1764 pages, la liste des sources, une bibliographie, 2 672 notices et 800 photographies.
Autant de portraits, de parcours, d’engagements, de destins tragiques.